Est-ce un hasard si Xavier Cousu a rejoint notre équipe de formateurs francophones ? Ce master Black Belt expérimenté a la formation et le coaching dans la peau ! Une mission d’expatrié aux USA lui a donné l’occasion de goûter au Six Sigma, depuis, il n’a plus lâché l’affaire ! Et quand notre coach ne prépare pas ses formations, il se plonge dans la lecture de romans historiques !
Avant d’intégrer TLSSC, que faisais-tu ? Peux-tu nous raconter ton parcours professionnel ?
J’ai travaillé pendant près de 30 ans au sein du groupe 3M : j’y ai occupé des fonctions d’ingénieur en usine, puis de marketing et de ventes.Durant cette carrière professionnelle, j’ai eu l’occasion de rejoindre une division du groupe aux USA. C’est ainsi que ma route a rencontré celle du six sigma, car pour cette mission je devais occuper un poste de chef de projet Black Belt ou Master Black Belt. Cette fonction était plus orientée coaching et formation, elle dégageait une véritable dimension humaine. C’est ce qui m’a le plus attiré. De plus, cette dimension humaine s’est avérée comme une expérience incroyable d’autant que j’étais expatrié. Après cette aventure américaine, je suis revenu en France pour occuper des fonctions de direction opérationnelle.
Et maintenant au sein de TLSSC, quelle est ta fonction, quelles sont tes responsabilités ? À quoi ressemble ta journée de travail ?
Je viens de rejoindre TLSSC comme Master Black Belt et je vais aider à former les Green Belts et Black Belts de nos clients. Mon rôle est d’apporter du support dans la réalisation de leurs projets et les aider dans leur progression au quotidien. Je suis convaincu que mon expérience de Master Black Belt devrait être profitable dans le coaching. Concernant ma journée type de travail, je consacre une partie de mon temps à la préparation des formations. Pour cela, j’essaye de rattacher les chapitres à des expériences ou des projets concrets que j’ai dirigés ou coachés. J’ai eu l’opportunité de rencontrer et de travailler avec beaucoup d’industries et de marchés différents, je recherche donc toujours des cas concrets pour appuyer l’enseignement tout en tenant compte de l’activité de nos clients.
« Parfois, cela peut paraître étonnant, mais les exemples pour illustrer la méthodologie Lean Six Sigma tiennent plus de la vie courante que du travail en usine. Croyez-moi, la cuisine et le jardinage sont des sources d’inspiration ! »
Quelle est la raison pour laquelle tu as choisi de collaborer avec de TLSSC ? Que souhaites-tu accomplir à travers ton travail, d’un point de vue personnel, mais aussi envers nos clients ?
Comme la fonction de Master Black Belt m’avait beaucoup plu, et que je me sentais dans mon élément, j’avais envie de retrouver des activités tournées vers le coaching et la formation. L’accueil que j’ai reçu des collaborateurs de TLSSC a renforcé l’opinion très positive que j’avais des entretiens préalables à mon arrivée. Je suis très enthousiaste ! Pour moi, l’amélioration continue est une expérience de leadership, elle teste vos capacités d’écoute, d’animation et d’influence. À travers mon rôle, je souhaite aider nos clients à découvrir et tester leur potentiel.
« Devenir Belt est une occasion unique de démontrer son leadership et de réaliser tout son potentiel. »
Peux-tu nous partager une anecdote amusante ou inoubliable depuis que tu exerces au sein de TLSSC ?
Comme je viens d’intégrer l’équipe, je n’ai pas encore d’anecdote liée à TLSSC. Par contre, je peux évoquer celle en rapport avec ma précédente vie professionnelle. Lorsque j’étais aux USA, six sigma faisait déjà partie de la culture de l’entreprise, tous les collaborateurs utilisaient le même langage totalement inspiré de la culture américaine pour les statistiques. L’ajout de nouvelles notions de Lean comme les « mudas », « Kaizen » et autres « Gemba », tout ce vocabulaire venant du Japon et expliquant comment Toyota produisait des voitures supérieures aux marques du Middle West a… pris de temps ! Je ne trouve pas d’autre terme pour l’exprimer. C’était assez comique, car par moment, je passais pour un extra-terrestre !
Et à part le Lean Six Sigma, à quoi t’intéresses-tu ? Que fais-tu de ton temps libre ?
Un peu de sport, un peu de musique, beaucoup de lecture. Je continue de me former et de m’informer. Mes domaines de prédilection sont l’économie, le digital, et j’essaye d’aborder des notions sur l’intelligence artificielle. Pour la détente, mon choix s’oriente plus vers le roman historique. D’ailleurs, actuellement je lis une biographie sur Marco Polo. Je voyage aussi un peu partout en Europe avec une préférence pour l’Italie où j’essaye de me rendre tous les ans.